Une étude de l’ufc que choisir, datée du 16 octobre 2012, révèle que l’accès aux soins devient difficile géographiquement et financièrement :
« le pourcentage de la population vivant dans un désert médical gynécologique passe de 14 à 54 % si l’on ne peut financièrement accéder qu’à un gynécologue aux tarifs de la sécurité sociale. »
Le délai d’attente pour un rendez-vous chez l’ophtalmologiste, est en moyenne de 133 jours. A Châteauroux dans l’Indre, 2 ophtalmologistes au tarif de la sécurité sociale ont déjà rempli leur carnet de rdv pour tout 2013.
« L’argument fallacieux des médecins tendant à justifier la généralisation des dépassements par la stagnation de leur rémunération ne résiste pas à l’analyse : leurs revenus, hors dépassement, ont augmenté de moitié (en plus de l’inflation) depuis 1980 !»
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