Ce journaliste s'indigne du scandale de passer l'éponge sur des délits commis par des salariés dans le cadre d'un conflit social et parle d'état de droit et des choses qu'on n'a pas le droit de faire parcer que la légalité l'emporte sur la légitimité. La violence du pauvre n'est pas un droit, à l'inverse de la violence des possédants qui permet de détourner l'argent des entreprises, de trafiquer avec des lobbyes, etc , car celle-là n'est pas évoquée.