Si les admirateurs de Sarkozy étaient peu nombreux et pris en plan rapproché pour qu'ils puissent remplir le cadre de la vidéo, la presse a, par contre, joué son rôle d'agent de relations publiques avec la maestria habituelle. Ce non-évènement traité en premier plan dans les informations avec le minutage des interventions des cadres de l'UMP confinait au grotesque.
Un retour sur une émission de là-bas si j'y suis intitulée "taxez-nous" pour se rappeler les débats pendant son quinquennat de président des riches :