Après la mort d'ouvriers du textile, nous apprenons que les crevettes qui remplissent les bacs de Carrefour proviennent de la pêche d'esclaves : " ce serait des dizaines d’esclaves battus, torturés, parfois drogués ou encore exécutés par l’entreprise thaïlandaise Charoen Pokphand (CP) Food".
Voici le retour des négriers.
« Si vous achetez des crevettes de Thaïlande, vous achetez le produit de l’esclavage »
interpelle Aidan McQuade, d’Anti-Slavery,
une ONG. Et c’est bien ça qui semble être le message. Arrêtez
d’acheter des crevettes, et la chaîne esclavagiste se brisera
d’elle-même. Plus d’acheteurs, plus de revendeurs.