Devant une commission de l’Assemblée nationale, Macron, le ministre-banquier a dit qu’il voulait encore accroître la flexibilité et réduire les compensations pour les salariés, ce qu’il appelle « faire respirer » les 35 heures.
Gattaz s’est contenté d’un sobre « …sur le fond on est en phase », alors que du côté du gouvernement on est un peu gêné aux entournures : « c’est un peu gênant d’en parler publiquement » a-t ’on entendu.
La réalité est que ces larrons préparent de connivence de nouvelles attaques contre les conditions de travail. Les travailleurs doivent se préparer à y répondre.