Pour ceux qui recevraient par mail une " Riposte de Charlie Hebdo Lettre de Charlie Hebdo à M. Mohammed Moussaoui, Président du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman) Monsieur Moussaoui," : c'est un faux. Ca date de 2012 et des salopards la remettent en circulation.
Charlie avait démenti. https://charliehebdo.wordpress.com/…/marine-le-pen-et-ripo…/
Guillaume Brossard, du site Hoaxbuster... par lemondefr
Le cofondateur de Hoaxbuster, site spécialisé dans le démantèlement de rumeurs et canulars, réagit à la multiplication des théories du complot après les attentats du début du mois à Paris. « Généralement, les rumeurs circulent et explosent quand une émotion est générée par un événement que l'on n'est pas capable d'expliquer soi-même », explique-t-il. Il exhorte les internautes à prendre « du recul par rapport à l'info » et met en valeur une « professionnalisation des théories du complot », ce qui les rend d'autant plus difficiles à distinguer d'une véritable information recoupée et vérifiée.
Commentaires
en réponse à Florentin :
Blasphème chez eux, mais pas chez nous. En France, c'est la loi française qui prime. Et de toute façon ça ne justifie pas le crime.
je comprends votre point de vue, mais quand Charlie a fait des caricatures sur Jesus ou le pape, il n'y a pas eu de morts. Exemple, tapez dans google image "charlie hebdo jesus pape jesus" : vous allez en voir des raides qui n'ont pas provoqué de remous.
Merci de votre contribution à mon papier du jour.Je ne suis pas naïf et sais bien que la presse n'est pas libre.Ce serait trop beau ! Que des revues s'affranchissent de tout tutelle, comme Charlie Hebdo, c'est bien. Mais, provoquer pour provoquer, c'est trop. Ils le savaient bien, au journal, que leur nouvelle caricature allait mettre le feu aux poudres. Alors, pourquoi l'ont-ils fait ? Je crois par ailleurs qu'il n'est pas si difficile d'admettre que les musulmans ne peuvent supporter les caricatures de leur prophète, qu'ils considèrent comme des blasphèmes. Choses sans importance chez nous, pas chez eux. A plus, peut-être.