poil à gratouiller

livres, films, économie...

posté le 18-11-2012 à 10:11:24

Gilbert Garcin

  

 

 

                                                                                 C'est dimanche

 

                                                

 

Gilbert Garcin  a profité de sa retraite pour se lancer dans   la photographie artistique. Ses personnages ont l’air de s’être échappés d’un tableau de Magritte et semblent exprimer  l’absurdité de la vie ainsi  que  sa poésie.

 

 

 

S’y perdre


 
 "Gilbert Garcin a passé la majeure partie de sa vie à gérer sa fabrique de lampes à Marseille. Après qu’il ait suivi un atelier sous la supervision de Pascal Dolemieux à Arles à l’âge de 65 ans, il a fermé son entreprise et décidé de devenir photographe. Aujourd’hui, à l’âge de 83 ans, il continue de créer ses images avec la même envie et la même passion."

 

vue sur mer

 
 

"Dans ses photographies noir et blanc drôles et surréalistes, la ligne est mince entre fiction et réalité. Garcin y inclut des objets physiques qui projettent réellement des ombres ; des cailloux, de la boue, du sable, et des cordes. Il joue avec les échelles pour créer des illusions d’optique qui finissent par sembler réelles. Une photographie à l’intérieur d’une photographie, un cadre dans un cadre. Il se met lui-même en scène dans ses photographies pour partager ses propres interprétations et réflexions avec le spectateur."  http://www.gilbert-garcin.com/blog/

 

 

Embarquement immédiat

 

 

 

 

 

 

 
 

L’ambitieux




 

http://www.gilbert-garcin.com/


 

 

 


Commentaires

 

1. impression  le 18-11-2012 à 12:09:26

je ne connaissais pas merci pour cette belle découverte

2. alderic25  le 18-11-2012 à 18:25:23  (site)

@impression : merci pour votre visite et votre commentaire.

3. siawnn  le 21-11-2012 à 20:42:31  (site)

je découve également ce photographe, c'est que cela fait penser à Magritte, en tout cas j'aime beaucou aussi, merci pour cette découverte...
à bentôt

4. alderic25  le 22-11-2012 à 19:12:45  (site)

@ Siawnn, j'ai découvert cet artiste grâce à un article de télérama, il y a bien des annéeset c''est un plaisir de partager cette découverte.

 
 
 
posté le 16-11-2012 à 20:45:01

Renault : le chantage sans fin

" Le constructeur veut faire signer aux syndicats un accord de compétitivité en échange du maintien de ses usines en France, sur le modèle espagnol." (...)

 

" La marque au losange suit l’exemple de PSA. L’autre constructeur tricolore a signé en juillet un accord similaire dans l’usine Selvelnord (Nord) : trois syndicats ont accepté un gel des salaires et davantage de flexibilité en échange de la fabrication d’un nouveau véhicule, que PSA menaçait de délocaliser en Espagne."(...)

 

" Ils sont d’autant plus inquiets (les syndicats) que Renault vient de mener le même chantage à l’emploi en Espagne. Dans ce pays, pourtant le plus compétitif d’Europe occidentale, le point de comparaison était… la Roumanie, où sont assemblés les modèles low-cost (Logan, etc.). Vu l’ampleur de la crise dans la Péninsule, les syndicats se sont dit prêts à signer. En échange de «volumes» et de la titularisation de 800 intérimaires, les salariés devraient consentir des sacrifices sévères : trois jours de travail de plus par an, production sept jours sur sept, baisse des primes de nuit. Et surtout la mise en place d’un nouveau type de CDD, dont les salaires seront inférieurs de 28% à ceux des ouvriers déjà en poste."

 

Suite sur Liberation

 

 

 Actualité sur PSA:

 

 tf1.fr apres-psa-son-equipementier-faurecia-va-supprimer-3000-postes-

 

 

Les exigences du patronat 

 

" À l’initiative du gouvernement, patronat et syndicats se réunissent pour négocier un accord sur la « sécurisation de l’emploi ». Mais en guise de « sécurisation », le patronat exige la remise en cause du CDI, le droit de licencier plus facilement, la limitation du recours aux tribunaux et la réduction des indemnités en cas de licenciement. En gros, il veut que les travailleurs soient tous précaires." lutte-ouvriere

 

 


 
 
posté le 15-11-2012 à 10:11:51

Le non-recours aux droits, un «scandale social»Libération

Selon Libération ," Chaque année, des milliards d'euros de prestations ne sont pas réclamés par des personnes qui y auraient pourtant droit. Un collectif de chercheurs a analysé ce phénomène, bien plus massif que les fraudes sociales."

 

Qu’est-ce que le non-recours ?

 

C’est la situation des personnes ou des ménages qui, pour différentes raisons, n’accèdent pas aux droits et services auxquels ils peuvent prétendre. Il existe plusieurs formes de non-recours, qui s’expliquent par un manque d’information, par la complexité des démarches, par le contenu de l’offre ou encore par une inhibition des ayants droit. Il existe également des gens qui n'engagent plus de démarches : ce sont celles et ceux que les institutions peuvent perdre de vue. Cela suppose d’engager des actions en leur direction au moyen de dispositifs de repérage.

 

Pouvez-vous nous donner un exemple de non-recours ?

 

On constate un taux particulièrement élevé de non-recours pour les différentes formes du RSA : 50% en moyenne, et jusqu'à 68% pour le RSA activité fin 2011, soit plus de 5 milliards d’euros d’allocations «économisés». Un résultat à nuancer, car le dispositif est encore récent. En matière d’assurance maladie, l’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé (ACS) se caractérise par un taux de non-recours de 70%. En ajoutant à ces prestations non versées celles de la Couverture maladie universelle, on dépasse le milliard d’euros. On retrouve également des taux élevés pour les tarifs sociaux de l'électricité, du gaz, des transports, les allocations chômage..."

 

 

 

Suite-de-l'article-sur Libération

 

 

 

 

 

 


 
 
posté le 14-11-2012 à 12:19:33

Chris Marker

 

La jetée

 

 

Dimanche, le ciné-club de ma ville rendait hommage au réalisateur Chris Marker   et programmait  le film « la jetée » en début de séance. "La jetée"  qui raconte sous forme d’un photo roman de 28 minutes l’aventure d’un homme qui vit dans une boucle temporelle, est à l’origine du film   "l’armée des 12 singes" de Terry Gilliam. On peut y trouver  aussi des ressemblances avec la littérature de Philip K Dick.

 

 

 
 
 

Groupe  Medvedkine :

 

La deuxième partie de la séance était consacrée au groupe Medvedkine. En 1967 des cinéastes se sont intéressés à la  grève de la Rhodiaceta à Besançon. Les ouvriers estimant ne pas voir leurs préoccupations passer dans les reportages, ont réclamé d’être formés aux techniques  du cinéma, ce qui a donné naissance à ce groupe.

 

"Chris Marker, Jean-Luc Godard, Bruno Muel et quelques autres, vont ainsi mettre du matériel à la disposition des ouvriers et les former aux techniques cinématographiques. Résultat : des films forts, des pamphlets parfois violents, souvent brillants et émouvants, réalisés entre 1967 et 1973 sous l'égide de l'infatigable et génial Pol Cèbe, ouvrier et bibliothécaire du CE.

Alexandre Medvedkine, encore vivant, est celui qui a créé le cinéma-train, méthode qui consistait à prendre le train, et à filmer la population rencontrée sur le trajet." Extrait  d'un-article-du-cine-club-de-Caen 

 

Quelques films militants du groupe Medvedkine :

 

http://www.youtube.com/playlist?list=PL93BC5C31CB8EBB87

 

 


 
 
posté le 13-11-2012 à 14:52:39

les enfants de la précarité

Deux documentaires à voir 

 

Les enfants de la précarité et  de l'amour 

 

" On compte aujourd'hui 8 millions de personnes vivants avec moins de 950 euros par mois. Pendant un an, le réalisateur Géraud Burin des Roziers a vécu avec les enfants de quatre familles précaires. Jordan, 13 ans, aide ses parents, Patrick et Muriel, paysans dans la Creuse, à tenir l'exploitation familiale. Ils cumulent 40 000 euros de dette mais toute la famille a décidé de se battre. Parmi les plus touchés des précaires, les femmes qui élèvent seules leurs enfants. Esther, 13 ans, vit avec sa mère Véronique, 47 ans, monteuse câbleuse. Djimmy, 15 ans , est élevé par sa maman Irène, 37 ans, ...." http://programme-tv.premiere.fr/documentaire/les-enfants-de-la-precarite-et-de-l-amour
 
 

 

 

 

La banque qui veut prêter plus :

 

" Prêter plus pour gagner moins : tel pourrait être le slogan alternatif de cette banque qui n'en est pas une. Il s'agit d'une coopérative de la banlieue lyonnaise, nommée la Nef (pour « nouvelle économie fraternelle »). Une sorte de nef des fous pour ex-banquiers en mal d'éthique, hostiles aux petits calculs et soucieux de renouer avec l'économie réelle.

La documentariste Valérie Denesle prévient tout de suite : elle n'est pas une spécialiste de la chose financière, juste une citoyenne — étiquetée « journaliste solidaire » depuis son magnifique Ma vie à l'hôtel (France 5, 2006) — avide de prouver l'existence d'un système bancaire vertueux. Les cinquante salariés de la Nef, par exemple, ne spéculent pas. Ils proposent d'épargner sans (grands) intérêts, mais avec l'envie de financer des projets utiles : une société d'apiculture, un four à pain, différentes entreprises de la région Rhône-Alpes qui empruntent dans la plus grande transparence. L'utopie finit par payer : le nombre d'épargnants à la Nef augmente de 10 % par an, délaissant les banques traditionnelles pour ce petit laboratoire"


 

http://television.telerama.fr/tele/programmes-tv/la-banque-qui-veut-preter-plus,44313073.php

 

 

 

la-banque qui_veut prêter plus

 

 

 

 

 

 

 

 


 
 
 

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